In ciuda opozitiei organizatiilor franceze de aparare a drepturilor omului si minoritatilor, tiganii din Marsilia originari din Romania au fost expulzati azi dimineata din oras in urma unei hotarari judecatoresti care stipula “evacuarea fara intarziere” a taberei tiganesti si interzicerea tiganilor de a mai reveni vreodata in portul de la Marea Mediterana, ctitorie feniciana de la anul in 600 IH. Acesta este cel de-al treilea val de expulzari urmate de declararea tiganilor drept indezirabili, dupa cele din iunie si iulie (vezi video mai jos de la evacuari). Cu toate ca majoritatea tiganilor au invocat cetateania romana si au sustinut ca consulul Romaniei la Marsilia, celebrul vinturist Ioan T Morar, este de aceeasi origine cu ei, baptist din Cuca Macaii, de unde proveneau multi dintre ei, autoritatile au fost intransigente. Nici fosta sefa Soros Romania, Renate Weber, nu a venit sa se lege cu lanturile de corturile tiganilor si portile orasului istoric francez si nici Ministerul de Externe nu a emis vreo declaratie, alta decat cea inspirata de militienii de la circulatie recilati de MAE, si anume ca – strict autentic – sunt Restricţii de circulaţie în tunelul Karavanke – tunel care face legătura între Austria şi Slovenia.
E bine ca MAE dirijeaza acum circulatia europeana dar in schimb nu a facut nimic pentru a media intre tigani si autoritatile franceze, determinandu-i pe concetatenii nostri mai colorati (la fuste, desigur) sa se retraga inainte de a se ajunge la o sentinta judecatoreasca atat de categorica, ce devine o noua pata pe obrazul Romaniei.
Iata cele doua filmari de la evacuarile precedente si, mai jos, articolele referitoare la expulzarea tiganilor, din presa franceza de azi. In tot timpul acesta dramatic pentru consangenii lui, Ioan T Morar a fost surprins la plaja (foto) cautandu-l pe seful M.A.E. Baconschi pentru o lectie de teologie subacvatica.
Le Monde: La ville de Marseille prend un arrêté pour expulser des Roms
LEMONDE.FR avec AFP | 10.08.11 | 07h47 • Mis à jour le 10.08.11 | 08h30
Un arrêté pris par la ville de Marseille autorisant l’évacuation de plusieurs dizaines de Roms installés dans le quartier de la porte d’Aix a été validé par le tribunal administratif, mardi 9 août. “Considérant que cette occupation est de nature à générer un trouble grave à l’ordre public qui s’accentue chaque jour”, la ville ordonne “l’évacuation sans délai des espaces verts et autres espaces publics situés à la porte d’Aix”, peut-on lire sur l’arrêté.
Une trentaine de Roms avaient été convoqués au tribunal administratif mardi. La mairie avait déposé une demande de référé afin d’accélérer la procédure, a précisé une porte-parole de la mairie.
“CES GENS-LÀ, IL Y EN A TROP DANS CETTE VILLE”
Plus de 90 personnes, dont une trentaine d’enfants, qui avaient été délogées de squats, occupent depuis un mois les pelouses de ce quartier à l’entrée de la ville. Le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, explique cette décision par les “conditions d’indignité, d’une extrême précarité, d’insécurité et d’insalubrité, sans eau ni sanitaires” dans lesquelles vivent les personnes évacuées.
Le même Jean-Claude Gaudin avait déclaré, vendredi, que “ces gens-là, il y en a trop dans cette ville, nous souhaitons qu’ils aillent ailleurs”.
“C’est désespérant, l’expulsion est la seule réponse politique apportée par la ville, c’est une fuite en avant, a réagi l’AFP Bernard Eynaud, responsable de la Ligue des droits de l’Homme (LDH) dans les Bouches-du-Rhône. En gros ils ont 24 heures pour déguerpir une fois que la décision leur sera notifié”. Un groupe d’élus du Front de Gauche a dénoncé “le caractère scandaleux, insupportable, de cette convocation”. L’ONG Médecins du Monde avait déjà dénoncé fin juillet “le harcèlement policier” dont sont victimes les Roms à Marseille, appelant à un “moratoire des expulsions” et à l’arrêt de ce harcèlement.
L’Express: Les Roms indésirables à l’entrée de Marseille, délogés par la police
publié le 11/08/2011 à 08:26, mis à jour le 11/08/2011 à 12:32
afp.com/Anne-Christine Poujoulat
MARSEILLE – Une centaine de Roms, parmi lesquels près de trente enfants, qui occupaient les pelouses de la porte d’Aix, à l’entrée de Marseille, ont été délogés jeudi matin par la police, le maire ayant demandé et obtenu du tribunal administratif leur expulsion.
La ville avait demandé l’expulsion dans le cadre d’un référé, et le tribunal lui a donné satisfaction mardi.
L’intervention policière a débuté jeudi dans le calme à 06H15, a précisé à l’AFP Bernard Eynaud, responsable départemental de la Ligue des droits de l’Homme (LDH), présent sur place et qui déplore ces expulsions.
Une centaine de policiers (CRS, sûreté départementale, police de l’air et des frontières, sécurité publique) se sont disposés autour des espaces verts de la porte d’Aix, encerclant les familles Roms, leur demandant de quitter les lieux et procédant à des contrôles d’identité, ont décrit M. Eynaud et un photographe de l’AFP.
Une dizaine de Tunisiens ont été interpellés lors de l’opération, selon une source proche de l’enquête.
“Ces dix Tunisiens avaient des papiers italiens et ont été placés en garde à vue pour vérifier leur situation”, a dit à l’AFP le préfet délégué à la Défense et à la Sécurité en région Paca Gilles Leclair.
“Soixante-dix personnes d’origine roumaine dont dix enfants ont été évacuées dans le calme avec l’assistance du Samu social qui leur a proposé de la nourriture et des solutions d’hébergement”, a ajouté le préfet de police.
“Pour l’instant, trois familles ont accepté ces solutions et l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration, ndlr) a relevé les identités de personnes susceptibles de pouvoir bénéficier d’une aide au retour. Une bonne trentaine d’entre elles sont convoquées cet après-midi pour étudier leur cas”, a-t-il précisé.
En fin de matinée, une cinquantaine de ces personnes délogées qui s’étaient installées à 09H00 sur l’esplanade de la cathédrale la Major, dans le quartier de la Joliette, ont à nouveau été chassées par la police et s’orientaient vers une autre église du quartier, a constaté un journaliste.
M. Eynaud souligne que les places d’hébergement proposées par le samu social sont dans des centres pour SDF ou personnes désocialisées, ce qui n’est pas du tout le cas des Roms qui vivent en famille. De plus, “ces endroits ne sont pas adaptés pour les femmes et les enfants”.
Un rassemblement est prévu jeudi à 18H devant la mairie. “Nous souhaitons être reçus par le maire”, a dit M. Eynaud, jugeant la situation “glauque et écoeurante”.
Dans l’arrêté municipal, transmis à l’AFP, le maire UMP Jean-Claude Gaudin relevait que ces personnes occupaient depuis un mois les pelouses “dans des conditions d’indignité, d’une extrême précarité, d’insécurité et d’insalubrité, sans eau ni sanitaires”.
“Considérant que cette occupation est de nature à générer un trouble grave à l’ordre public qui s’accentue chaque jour”, la ville demandait au tribunal administratif de prononcer une “évacuation sans délai”.
L’annonce de cette expulsion a été très critiquée par les représentants de la gauche et de l’extrême gauche locale, notamment le groupe des élus Front de Gauche au conseil régional et le parti communiste (PCF13) qui a dénoncé “la chasse aux Roms”.
Le président PS de la région, Michel Vauzelle, a également jugé “honteux et inacceptable d’expulser des Roms sans accompagnement”.
Médecins du Monde avait dénoncé fin juillet à Marseille “le harcèlement policier” dont sont à ses yeux victimes les Roms dans la cité phocéenne, appelant à un “moratoire des expulsions”.
Par AFP
domnule Roncea, in ceea ce priveste diferendul meu cu Nicoleta Savin nu se punea problema copyright-ului pe niste nume cat pe cea a copy-paste-ului facut cu nesimtire.
ca fata s-a facut de ras este problema ei. ca s-a dus la infoTV si numai pentru ca in textul plagiat cu tot cu greseala era expresia “Vintu si-a tras pe linga el finantisti gen Nicolae Popa” ea s-a pomenit c-o ia gura pe dinainte de doua ori zicand “generalul Popa”.
in cadrul discutiei telefonice n-a fost capabila sa spuna ce meserie are Barcauan, nu Bacauan. “e finantist” a zis. nu, este medic.
apoi a recunoscut ca acautat pe google si a gasit materialu atat pe “sare’n ochi” cat si pe “bistrita on-line” unde era preluat (cu precizarea sursei) dar ca nu a stiut cui apartine. cand i s-a spus ca este precizata sursa a replicat de genul “nu era sa pun sare’n ochi ca sursa”.
sunt pentru libera circulatie a informatiei, dar cu precizarea sursei.
in rest sunt in presa din februarie 1990 cand impreuna cu alti colegi studenti de la Cluj am fondat saptamanalul NU.
si cam atat.
Eh, se mai intampla… Eu zic sa nu ne ambitionam prea tare. Fiecare trece invataminte. “Clientii” dvs si ai Nicoletei par sa fie aceiasi. Mai bine v-ati impaca… Parerea mea 🙂
NU a fost ceva! Il raspandeam si noi prin Bucuresti, pare-mi-se chiar prin Piata Universitatii…