Blogarita Lilick aduce un subiect interesant pe net (https://lilick-auftakt.blogspot.com/2008/09/faustii-vechi-si-noi-sau-andrei-plesu.html). Vehicularea numelui lui Mihai Razvan Ungureanu ca candidat potential-imaginar pentru postul de prim-ministru in viitorul Guvern. Dar, misto (vorba lui Columbeanu Jr), nu din partea PNL ci a… PDL! Tare, nu!?
Postarea colegei noastre de net contine insa o mica eroare aparuta ca urmare a unei relatarii confuze din revista Courrier de Balkans: Lilick ii atribuie lui Andrei Plesu niste vorbe critice despre Ungureanu, care nu-i apartin. Intr-un articol propagandistic din “Ieseanul”, prelat de Courrier de Balkans, apar doua citate dintr-un numar mai vechi al revistei “Plai cu boi”. Intr-unul, Plesu isi lauda progenitura iar in altul Ungureanu e luat la misto. In acesta, nesemnat, este prescurtata cariera lui Ungureanu de tanar cadru in CC al UTC (asadar daca s-ar da o lege a lustratiei, cum cere insusi PNL si, probabil, cred, zice-se, PDL, Ungureanu ar trebui sa zboare primul din viitorul guvern imaginar).
Citez:
“…biografia pe care şi-o confecţionează noul megastar e, dincolo de încărcătura ei de kitsh, o versiune mult revizuită, trecând pudic peste perioade mai puţin avantajoase.(…) in realitate, prinde spaţiu în cele două ore de emisiune a televiziunii naţionale şi ţine un discurs înflăcărat omagindu-l pe tovarăşul Nicolae Ceauşescu, angajându-se, în numele tinerei generaţii, să construiască socialismul în patria noastră multilaterală. La armată, a avut importanta sarcină de partid să asigure pregătirea ideologică a camarazilor săi”.
“…biografia pe care şi-o confecţionează noul megastar e, dincolo de încărcătura ei de kitsh, o versiune mult revizuită, trecând pudic peste perioade mai puţin avantajoase.(…) in realitate, prinde spaţiu în cele două ore de emisiune a televiziunii naţionale şi ţine un discurs înflăcărat omagindu-l pe tovarăşul Nicolae Ceauşescu, angajându-se, în numele tinerei generaţii, să construiască socialismul în patria noastră multilaterală. La armată, a avut importanta sarcină de partid să asigure pregătirea ideologică a camarazilor săi”.
– articol aparut in 2000, in numarul inaugural al revistei “Plai cu boi”, sub titlul “Faustii vechi si noi”
Lilick ofera si sursa citatului, articolul preluat din “Ieseanul” si aparut in Courrier de Balkans sub titlul “Ungureanu, gendre idéal ? Portrait du nouveau ministre roumain des Affaires étrangères“
– traduit par Cristina Borlea, Publié dans la presse : 6 janvier 2005, Mise en ligne : mercredi 26 janvier 2005.
– traduit par Cristina Borlea, Publié dans la presse : 6 janvier 2005, Mise en ligne : mercredi 26 janvier 2005.
Ce e si mai misto, e ca regasim aici limbi in lant de-ale turnatorului ICR Andrei Corbea Hoisie pe fundul noului ministru care avea sa-l puna ulterior ambasador, tot la insistentele lui Andrei Plesu. Le redau mai jos. A, ca veni vorba de turnatori: Ungureanu a avut si el niste rubrici “patriotice” la ziarului UASCR-ului, “Opinia Studenteasca”: impreuna cu Alina Mungiu si… Sorin Antohi, angajat ulterior de HR Patapievici la sectia speciala a ICR – “Stiinta turnatoriei”!
Ha, ha, ha!
Ha, ha, ha!
L’intelligence même
Presque tous les amis de Mihai Razvan Ungureanu sont d’accord sur l’intelligence du nouveau ministre. « Ungureanu est une personne extrêmement intelligente », affirme l’homme d’affaires Adrian Butuca, très bon ami à lui. « Il a toujours fait preuve d’une grande intelligence », rajoute Catalin Turliuc, ancien voisin de Ungureanu, devenu son « collègue d’idées » par la suite. « C’est une personne douée d’une intelligence exceptionnelle », renchérit Andrei Hoisie, professeur universitaire. (…)
Presque tous les amis de Mihai Razvan Ungureanu sont d’accord sur l’intelligence du nouveau ministre. « Ungureanu est une personne extrêmement intelligente », affirme l’homme d’affaires Adrian Butuca, très bon ami à lui. « Il a toujours fait preuve d’une grande intelligence », rajoute Catalin Turliuc, ancien voisin de Ungureanu, devenu son « collègue d’idées » par la suite. « C’est une personne douée d’une intelligence exceptionnelle », renchérit Andrei Hoisie, professeur universitaire. (…)
Une vraie encyclopédie
Avant son admission à l’Université, le jeune Mihai Razvan Ungureanu semblait être destiné à une carrière d’encyclopédiste. (…)
Malgré sa carrière dans la diplomatie, Ungureanu a fidèlement continué ses recherches dans le champ de l’histoire. « Il a récemment défendu une thèse de doctorat brillante dans un domaine pas encore exploré par les historiens, à savoir les conversions religieuses en Moldavie », rajoute le professeur Hoisie.
Excessivement respectueux
La politesse de Ungureanu frisait la manie, selon tous ceux qui le connaissent. « Mihai exhale de la sobriété et de l’équilibre », déclare Adrian Butuca. « De la sobriété, ainsi que de l’élégance, de la lucidité et de la réflexion », rajoute Catalin Turliuc. Un ancien collègue de lycée du ministre, Cip Iesean, le décrit comme étant « très tranquille et affreusement poli : c’était toujours lui qui saluait en premier, par exemple ». « Un jeune homme parfois excessivement respectueux », dit de lui le professeur universitaire Andrei Hoisie.(…)
Avant son admission à l’Université, le jeune Mihai Razvan Ungureanu semblait être destiné à une carrière d’encyclopédiste. (…)
Malgré sa carrière dans la diplomatie, Ungureanu a fidèlement continué ses recherches dans le champ de l’histoire. « Il a récemment défendu une thèse de doctorat brillante dans un domaine pas encore exploré par les historiens, à savoir les conversions religieuses en Moldavie », rajoute le professeur Hoisie.
Excessivement respectueux
La politesse de Ungureanu frisait la manie, selon tous ceux qui le connaissent. « Mihai exhale de la sobriété et de l’équilibre », déclare Adrian Butuca. « De la sobriété, ainsi que de l’élégance, de la lucidité et de la réflexion », rajoute Catalin Turliuc. Un ancien collègue de lycée du ministre, Cip Iesean, le décrit comme étant « très tranquille et affreusement poli : c’était toujours lui qui saluait en premier, par exemple ». « Un jeune homme parfois excessivement respectueux », dit de lui le professeur universitaire Andrei Hoisie.(…)
Ungureanu, l’apprenti communiste (membre de l’Union des Jeunes Communistes) En 1998, soutenu par Andrei Plesu (philosophe, ancien ministre des Affaires étrangères), Mihai Razvan Ungureanu est devenu secrétaire d’État auprès du ministère des Affaires Etrangères et par là un acteur sur la scène publique.
En 2000, le numéro inaugural de la revue « Plai cu boi » (revue satirique) ébauche un portrait de Ungureanu qui est loin d’être flatteur. « La biographie que la nouvelle mégastar s’est confectionnée est chargée de kitsch et pudiquement allégée des périodes les moins avantageuses. En réalité (…), il pique des minutes aux deux heures diffusées par jour par la Télévision nationale et prêche un discours passionné rendant hommage à Ceausescu et s’engage, au nom de la jeune génération, à construire le socialisme dans notre patrie « multilatéralement développée ». Pendant son service militaire il a été chargé de la formation idéologique de ses camarades », informe l’article intitulé « Faustii vechi si noi » (Faust, d’hier et d’aujourd’hui).
En 2000, le numéro inaugural de la revue « Plai cu boi » (revue satirique) ébauche un portrait de Ungureanu qui est loin d’être flatteur. « La biographie que la nouvelle mégastar s’est confectionnée est chargée de kitsch et pudiquement allégée des périodes les moins avantageuses. En réalité (…), il pique des minutes aux deux heures diffusées par jour par la Télévision nationale et prêche un discours passionné rendant hommage à Ceausescu et s’engage, au nom de la jeune génération, à construire le socialisme dans notre patrie « multilatéralement développée ». Pendant son service militaire il a été chargé de la formation idéologique de ses camarades », informe l’article intitulé « Faustii vechi si noi » (Faust, d’hier et d’aujourd’hui).
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Vezi si
Normal Victore, doar n-o sa laude actualul guvern fantoma PNL-UDMR-PCM-Magyar Garda….
Revin la o un comentariu mai vechi. Daca acel partid romanesc mare si la dreapta s-ar fi creat n-ar mai fi fost nevoie de partidele etnice. Romanii in schimb au preferat sa-si sparga capetele.
Pana una alta multumeste patronului sefului tau precum si sefului tau.
Cat despre papapipi… seamana mai degraba a agent provocator. Altminteri ce face el n-are sens.
Basescu trebuie sa scape de pata de pipi si de pipiloaica, dupa cum baza “liberala” trebuie sa scape de licheaua de dinu si gasca sa. Altminteri o sa ne bucuram ca e ungureanu si nu frunda.