Kissinger in mai 2007: Sfarsitul mandatului lui George Bush va aduce inceputul Noii Ordini Mondiale
Kissinger in 24 decembrie 2008: Administratia americana poate gasi in acest climat de criza o oportunitate in care sa construiasca Noua Ordine Mondiala
Obama, Clinton, Kissinger si compania despe “nevoia unei Noi Ordini Mondiale”
James Paul Warburg declara în fata Senatului SUA pe 7 Feb. 1950: “Vom avea un Guvern Mondial, fie ca ne place, fie ca nu ne place. Singura întrebare este daca acest Guvern Mondial va fi adoptat prin cucerire sau prin accept.“ (“We shall have World Government, whether or not we like it. The only question is whether World Government will be achieved by conquest or consent.” Quote by powerful banker James Paul Warburg before the US Senate in 1950.) Zbigniew Brzezinski: “Aceasta regionalizare se desfasoara conform planului Comisiei Trilaterale având ca scop convergenta gradata a Estului si Vestului catre un Guvern Unic Mondial… Suveranitatea Nationala nu mai este un concept viabil.“ Chester Ward, Amiral si fost judecator în Marina Militara SUA, membru în CFR timp de 15 ani: “Scopul principal al CFR este slabirea suveranitatii SUA si a independentei nationale si supunerea ei unui guvern unic mondial.“ David Rockefeller: “Tot ce avem nevoie este o criza majora, iar natiunile vor accepta Noua Ordine Mondiala ” Un “guvern mondial” implica mult mai multa cooperare intre tari. Va fi o entitate cu caracteristici similare statului, sprijinita de un organism de legi.UE a stabilit deja un guvern pentru 27 de tari, care ar putea fi un model. UE are o Curte suprema, o moneda, mii de pagini de legislatie, un serviciu civil larg si capacitatea de a desfasura o forta militara. Financial Times crede ca formarea unui gen de guvern mondial este plauzibila. Ar putea oare modelul european sa se globalizeze?, se intreaba presa americana, care precizeaza ca exista trei motive de a crede posibil acest lucru. In primul rand, este tot mai clar ca majoritatea problemelor cu care se confrunta guvernele nationale sunt internationale ca natura: exista incalzire globala, criza financiara globala si “razboi global impotriva terorismului”. In al doilea rand, revolutiile din transporturi si comunicatii au comprimat lumea in asa masura incat istoricul australian de prima marime Geoffrey Blainey a scris: “Pentru prima data in istoria omenirii un gen de guvern mondial este acum posibil”. Blainey prevede o incercare de creare a unui astfel de guvern in urmatoarele doua secole, o perioada de timp neobisnuita pentru FT.
« Il faut que tout change pour que rien ne change. » Guiseppe Lampedusa
Comme il était prévisible depuis plusieurs semaines, Barack Obama sera le prochain président des Etats-Unis, et l’enthousiasme n’avait jamais été aussi délirant pour un candidat depuis John Kennedy en 1960. Le taux de participation (65%) serait le plus haut depuis 1908 et ses bureaux d’enregistrements des électeurs les bureaux de vote ont été débordés par des foules enthousiastes. Toute la presse occidentale « mainstream » a encensé unanimement le candidat démocrate. La machine de propagande sans précédent a fonctionné à merveille.
Au cours des précédentes campagnes elle avait loué, en 1992 et 1996, le démocrate Bill Clinton, qui n’a cessé de bombarder l’Irak pendant ses deux mandats avec des armes à uranium appauvri, et a renforcé l’embargo qui a causé la mort d’un million et demi de personnes (dont un tiers d’enfants), après avoir mené une autre guerre nucléaire en Yougoslavie… Elle a ensuite adoré son complice dans ses crimes contre l’humanité, Albert Gore, et continue, depuis l’échec de celui-ci, d’accuser le méchant Ralph Nader d’être responsable de l’élection de Bush en 2000. Et elle avait souhaité la victoire de l’intellectuel falot Kerry, aux positions encore plus bellicistes que G.W. Bush sur l’Iraq. En ce qui concerne Obama, elle a mis cette fois l’accent sur sa jeunesse et surtout sur sa « race » (alors qu’il est métis, et non Africain-Américain, et de culture occidentale) – comme elle l’avait mis sur le genre d’Hillary Clinton. En cela l‘Amérique blanche pourra enfin se racheter de son passé esclavagiste et ségrégationniste.
Après les deux mandats de G.W. Bush (le président le plus impopulaire le l’histoire des Etats-Unis), marqués par deux guerres d’agression qui ont lourdement grevé le budget du pays (600 milliards de dollars pour Iraq selon le prix Nobel d‘économie Joseph Stiglitz, beaucoup plus selon d‘autres sources) et largement contribué à son endettement, la grande majorité du peuple américain, qui aspire à un changement politique profond, a placé tous ses espoirs dans jeune sénateur ambitieux de l’Illinois, l’identifiant à Kennedy et à Martin Luther King. Barack Obama a ainsi suscité l’espoir et l’euphorie dans les classes défavorisées, les Africains-Américains – et les noirs et les progressistes du monde entier. Le premier métis à représenter un grand parti à la présidentielle, qui possède un réel génie politique, un charisme et des talents oratoires exceptionnels, a eu notamment l’habileté de reprendre dans ses discours le ton et les thèmes de ces deux héros historiques dont l’Amérique est si fière. Il a prononcé son discours d’intronisation à la candidature du parti démocrate le jour du 45e anniversaire du discours fameux de Luther King, « I have a dream». Ses principaux slogans de campagne, concoctés par ses conseillers en communication, étaient: « Oui, nous le pouvons » (« Yes we can ») et «nous changerons ensemble ce pays, et le monde».
Sur la seule base de son programme des primaires, et sur ses discours populistes, il a obtenu le soutien d’intellectuels comme Noam Chomsky, et d’artistes renommés engagés de longue date dans le mouvement anti-guerre (comme Joan Baez, Patti Smith, Bruce Springsteen, Bob Dylan, Michael Moore, Susan Sarandon…), d’Africains-Américains (Stevie Wonder, Spike Lee), alors que son « concurrent » John MacCain n’a obtenu l’appui que des acteurs d’extrême droite Arnold Schwarzenegger et Sylvester Stallone.
La face cachée de Barack Obama
Alors que les foules se sont enflammées pour le sénateur de l’Illinois, sans aucun argument autre que la couleur de sa peau, sa jeunesse ou sa compassion pour sa grand-mère mourante (blanche) qui l’a élevé, et en se basant seulement au programme qu’il avait opposé à celui d’Hillary Clinton lors des primaires, nous voulons ici nous attacher à son comportement au fil des mois et à ses positions politiques, affichées sur son site.
Barack Obama est un belliciste très dangereux
« Je construirai une armée du XXIe siècle et un partenariat aussi puissant que l’alliance anticommuniste qui a remporté la guerre froide, afin que nous demeurions partout à l’offensive, de Djibouti à Kandahar. » Barack Obama
Florin Budescu: In urma cu cateva, zile, am fost rugat de un vizitator al blogului meu sa imi spun parerea despre ceea ce se intampla acum cu criza aceasta economic-financiara si caderea bancilor. Un user, Anda, mi-a dat de inteles ca mama domniei-sale este ingrijorata pentru soarta bancilor din Romania, din diferite motive: ar putea avea un credit sau un depozit bancar si se intreaba ce sa faca in continuare.
Vreau sa fiu clar inteles: eu nu voi da niciodata sfaturi nimanui ce sa faca intr-un anumit moment. Tot ceea ce imi permit sa fac este sa spun ce gandesc.
Cititorul acestor randuri nu trebuie sa uite urmatorul sfat al meu: nu te lua niciodata dupa cel care iti spune cum sa faci, fara sa faca chiar el acest lucru, ci dupa cel care face.
Invata de la acesta, nu fa ceea ce face, ci gandeste, compara, analizeaza si apoi actioneaza exact cum crezi ca este mai bine.
Acestea fiind zise, iata cum vedem noi situatia actuala.